L’asthme et la BPCO constituent incontestablement un problème de santé publique majeur aussi bien dans les pays du Maghreb que ceux du moyen orient.

Les données relatives à l’impact épidémiologique et aux difficultés de prise en charge de l’asthme et de la sont recueillies à travers plusieurs études relevées dans la littérature. Il en ressort que pour l’asthme, la prévalence oscille entre 3,8 % et 6 % pour la BPCO, la prévalence se situe entre 4 % et 5,5 % avec comme facteur de risque presque exclusif le tabac, dans ses deux formes : la cigarette et le narguilé.

Si la problématique de l’asthme reste le déni et l’adhésion au traitement celle de la BPCO demeure le retard de diagnostic et la confrontation en pratique quotidienne à des formes sévères.

Informations supplémentaires

  • Conférencier Ali Ben Kheder
  • Pays Tunisie
  • Session Les maladies bronchiques dans les pays émergents
  • Journée Jeudi 12 Octobre
  • Séance Clinique

Les localisations extra pulmonaires sont dans la plupart des cas   le résultat d’une réactivation endogène d’une infection tubercu- leuse ancienne. cette réactivation endogène traduit le passage de mycobactrium tuberculosis d’un stade quiescent à un stade de métabolisme actif. cette transformation est due le plus souvent à une altération profonde de l’immunité cellulaire locale ou générale du sujet hôte.

Les localisations extra respiratoires comprennent :

  • Les localisations respiratoires : pleurésie, adénopathies médastinales.
  • Les localisations séreuses : méningites, péricardites, péritonites.
  • Les localisations ganglionnaires profondes (mésentériques et périphériques)
  • Les localisations osseuses et ostéo-
  • Les localisations viscérales : hépatiques, spléniques, cérébrales, génitales.
  • Les localisations cutanées et

Les cas de tuberculose extra pulmonaire sont classés selon leur sévérité.

  • Les formes sévères : les formes aiguës (méningo-miliaires), les localisations péricardiques ostéo articulaires, génito urinaires.
  • Les formes simples : pleurales, ganglionnaires périphériques, cutanées, muqueuses, autres localisations viscérales.

La fréquence des localisations varie selon la prévalence de la maladie tuberculeuse. Dans les pays à forte prévalence, les localisations pleurales et ganglionnaires sont les plus fréquentes. Dans les pays à forte prévalence, il s’agit plutôt de localisations séreuses et viscérales.

Dans de nombreux pays l’incidence de la tuberculose extra pulmo- naire augmente régulièrement depuis deux décennies pour atteindre celle de la tuberculose pulmonaire.

  • chez les patients sera positifs au VIh, la tuberculose représente l’infection opportuniste la plus fréquente dans les pays à forte prévalence tuberculeuse. Les localisations extra pulmonaires sont fréquentes.
  • Dans les pays à faible prévalence tuberculeuse, les infections opportunistes sont liées à d’autres germes, mais des localisations extra pulmonaires ont été décrites avec une fréquence plus élevée par rapport aux sujets non infectés le
  • Le diagnostic repose sur des arguments de présomption et de certitude.
  • les critères de présomption sont cliniques, radiologiques, biologiques (réaction inflammatoire et lymphocytaire d’une séreuse) immunolo- gique (IDR positive, quantiféron positif, réaction PcR positive).
  • les critères de certitude sont bactériologiques ou cyto-histolo- giques : culture positive de pus ou de broyat de tissu, follicule giganto-folliculaire avec nécrose caséeuse

Informations supplémentaires

  • Conférencier Noureddine Zidouni
  • Pays Algérie
  • Session Mycobactériose : traitement
  • Journée Vendredi 13 Octobre
  • Séance Clinique

Informations supplémentaires

  • Conférencier Sameh Msaad
  • Pays Tunisie
  • Session SAOS
  • Journée Vendredi 13 Octobre
  • Séance Clinique

Informations supplémentaires

  • Conférencier Georges Khayat
  • Pays Liban
  • Session Tuberculose pulmonaire
  • Journée Vendredi 13 Octobre
  • Séance Clinique
© Copyright 2024 Espace Francophone de Pneumologie. Conception Dr Souissi Zouhair

Search